Le Centre pour la Taharat Hamichpaha est la seule et unique adresse vers laquelle se tournent des centaines de Balaniotes et de représentants de villages à travers tout Israël quand surgit un problème gênant le bon fonctionnement des Mikvés.
Malheureusement, le gouvernement et les municipalités locales se déchargent de leurs responsabilités et ignorent les appels de réparation ou de rénovation des Mikvés. C’est donc le Centre pour la Taharat Hamichpaha qui prend en charge tous ces problèmes. Les réparations peuvent parfois s’élever à plusieurs milliers d’euros et nécessiter le remplacement de systèmes entiers pour que les Mikvés restent opérationnels. Par ailleurs, le Centre pour la Taharat Hamichpaha recherche continuellement des moyens technologiques pour réduire les dépenses et installe actuellement de nouveaux systèmes de chauffage et pompes électriques pour remplacer les anciennes chaudières à fioul peu économiques.
Les systèmes de chauffage des Mikvés fonctionnent chaque jour pendant plusieurs heures d’affilée, ce qui entraîne de nombreuses pannes liées à des problèmes de surchauffe. Lorsque le système de chauffage est défectueux, le Mikvé devient hors d’usage. Dans un tel cas de figure, le Centre pour la Taharat Hamichpaha intervient immédiatement pour réparer la panne.
Le Centre pour la Taharat Hamichpaha considère qu’un Mikvé ne doit pas fermer ses portes ne serait-ce qu’un seul soir en raison d’une défaillance de l’un de ses systèmes. Pour prévenir un tel scénario, le Centre dispose d’une équipe de techniciens disponibles 24 h sur 7, et même les soirs de Chabbat et Yom Tov en cas d’urgence, et ce, aux quatre coins du pays.
Cette équipe est composée d’électriciens, plombiers et motoristes, qui sont équipés de tous les outils, matériaux et pièces de rechange nécessaires. Les charges liées à l’emploi d’une telle équipe de professionnels est astronomique, mais elles sont impératives pour permettre au Centre pour la Taharat Hamichpaha de remplir l’objectif qu’il s’est fixé : s’assurer qu’aucun Mikvé ne ferme ses portes ne serait-ce qu’un seul soir en raison de défaillances techniques.
